Saturday 17 April 2010

Ciel complètement dégagé grâce au NUAGE

Paradoxalement le NUAGE nous offre un ciel complètement dégagé. Dégagé des avions, des autres nuages, de pollution sonore. Des milliers de voyageurs, dont moi, cloués au sol.

Dès douze heures en douze heures, le gouvernement belge prolonge l’interdiction de vol. Le comble c’est qu’en Islande, point d’origine du problème, les aéroports sont ouverts.

Oui, nous devions partir; nous envoler pour Louxor. Une croisière sur le Nil pour nos trente ans de mariage.
Apparemment Nous, nous devrions fêter à des années irregulières : nos vingt et sept ou nos trente et un et/ou, pour quoi pas, nos trente quatre ?
En effet, lorsque nous allions fêter nos vingt-cinq ans ; tout était réservé pour les Maldives. Le Tsunami s’en est mêlé et nous avons dû changer complètement nos plans.
Aujourd’hui ce sera probablement de même. Au moins en cette occasion il n’y a pas de vies humaines à déplorer, que des illusions et des tracasseries administratives à résoudre. Inch’Allah

Friday 9 April 2010

Bruges : L’eau, au fil des pédales

L’expression est plus souvent utilisée dans sa forme : « au fil de l’eau » mais, comme j’aime bien jouer avec les mots pour faire rire les phrases ….


Toute cette recherche introductive pour parler tout simplement de notre belle balade en vélo à Bruges, le long des canaux et des pavés de ses rues et ruelles.
Ce vendredi, vers onze heures nous enfourchions nos montures pour un tour improvisé, au gré de l’inspiration du moment, de la circulation et du côté plus ou moins attrayant de ce que l’on observait.


Il faut pas trop s’étonner; à Bruges, tout est attrayant. Chaque rue, chaque pavé a son histoire. En fait notre circuit a été plutôt dessiné en fonction de notre envie de d’éviter la masse de touristes.



Il a fait, et fait, formidablement bon. Nous avons sillonné surtout les quartiers de la partie Est de la ville : du Minnewaterpark jusqu’au bout de la Potterierei qui nous a permis d’enchaîner une petite pointe jusqu’à Damme. A l’aller nous avons simplement suivi le canal qui mène jusqu’à son beau moulin a vent, blanc. Le retour nous l’avons effectué par des routes parallèles (Polderstraat) et quelque peu moins fréquentées.


Dans notre périple nous sommes même tombés, sans le chercher, sur notre fils. Il fini son stage demain et ils avaient quartier libre cet après midi. Je crois qu’il a été lui, aussi surpris que nous. D’ailleurs, si nous sommes à Bruges aujourd’hui c’est pour le récupérer demain.