Thursday 30 July 2009

Vacances été 2009

Les vacances sont presque passées et aucun article n’a été ajouté ; pourquoi ?

On croirait qu’en vacances on a plus de temps. Oui et non, en fait on n’a que 24 heures comme tous les jours de tous les jours, seulement qu’au lieu d’en passer un tiers au bureau et un autre tiers à dormir nous en faisons un autre usage.

Même si au quotidien je partage des bons moments avec ma famille, j’ai profité, pour ma part, pendant ces congés de leur présence. Nous avons ainsi fait de bonnes promenades et baignades, souvent déjà tôt le matin; avant huit heures. Suivies d’un bon petit déjeuner à la catalane : « pa amb tomaquet » et le reste.
Les soirs, pas nécessairement tous, nous sommes sortis aussi nous rafraîchir, flâner, goûter de l’ambiance locale de Palamós, que nous apprécions beaucoup pour son authenticité.

S’il est vrai qu’il y a quand même des touristes, comme nous, ce n’est pas le débordement classique des villes qqplage.
Lorsqu’on se promène dans les rues on entend parler autochtone : catalan, espagnol, andalou ; les gens se connaissent, se parlent, …

Qu’ai-je fait du reste du temps ? Un peu de plage, sous parasol, toujours.
J’ai profité pour mettre de l’ordre dans les données de l'ordinateur, les répertoires, les fichiers, renommer, reclasser, organiser ; mettre à jour des bases de données laissées un peu sur le côté.
N’ayant pas de connexion à l’appart et les wifi étant désormais toutes protégées je n’ai pu me connecter que via les cybercafés, pour rester à jour avec les messages surtout.


Du point de vue peinture, tout en ayant pris mon attirail, je n’ai fait qu’une aquarelle. L’envie y est mais l’état d’esprit n’est pas à la tâche.


J’ai lu pas mal, surtout à la plage ; comme je disais à l’ombre du parasol et une boisson fraîche dans le frigo : du Ken Follett « Alto riesgo », Harlan Coben « Les bois », « El hombre que cambió su casa pour un tulipán » de Fernando Trias de Bes, un essai traitant des bulles financières et de la crise mondiale, origines et conséquences.
J’ai commencé aussi « The Shadow of the Wind » de Carlos Ruiz Zafón. C’est comique que je lise ce roman en anglais quand la version originale est en espagnol alors qu’en général c’est des ouvrages anglais dont je lis la traduction. C’est le monde à l’envers.