Tuesday 27 November 2007

La Bisbal : 1957 Party














Que puis je dire de la fête qu’eut lieu ce samedi, 24 novembre 2007, pour les cinquantenaires de la Bisbal et environs ?
Je me suis déplacé, expressément, en voiture de Belgique à mon village pour cet événement.
J’avais été prévenu et en quelque sorte invité au mois de mai, quand Marina me l’avait annoncé.
Je savais que j’aimerais mais j’étais loin de me douter de l’émotion du moment. Je pense que quiconque ne la pas vécu ne peut pas comprendre la sensation et en plus c’est très difficile a expliquer d’autant plus que tout le monde ne la ressent de la même manière ou avec la même intensité.

Moi de par mon caractère sentimental, oui, c’est bizarre hein(1) ?, je l’ai v écu d’une manière spécialement forte. Il faut dire aussi que le fait de résider depuis plus de vingt-sept ans hors de la Bisbal fait qu’il y ait un grand nombre de personnes que je n’avais plus vu depuis 1979.

(1) Dans mon environnement de travail j’ai une réputation de sévère, intransigeant, tranchant. En fait, ce n’est pas une réputation, je crois réellement que je suis souvent assez sec. Je n’aime pas les fioritures et m’attaque directement à l’essence des situations.

Je vais essayer de décrire ici l’événement ainsi que mes états d’âme du moment.

Nous avions rendez-vous à neuf heures du soir à l'ex-cinéma « Mundial ». Faut dire que dans notre jeunesse il y avait trois cinémas à La Bisbal et deux discothèques des quels/quelles il ne reste presque plus rien.
Une discothèque et un des cinémas sont devenus des supermarchés. Un autre cinéma est à l’abandon. De l’autre discothèque il ne reste que le bar extérieur (j’ignore dans quelle situation se trouve le local de la discothèque proprement dite). Le cinéma où nous avons rendez-vous est devenu après quelques rénovations une sorte de centre culturel, qui abrite la bibliothèque et une salle de conférence (au moins c’est ce que j’ai pu y distinguer. Il y en a peut-être plus)

Je suis arrivé à La Bisbal, ce vingt quatre novembre vers sept heures. Tout d’abord parce que je ne voulais pas arriver en retard, ensuite parce que je souhaitais trouver un bonne place de parking dans un endroit au moins éclairé.
Je sais que je suis à l’avance, mais j’ai l’intention de faire quelques achats et d’aller boire un verre au Bisbal Park comme dans le vieux temps.

Je me promène au hasard presque craignant qu’on me reconnaisse et en même temps avec le souhait d’en reconnaître d’autres. Il est encore très tôt mais je distingue déjà des personnes devant le cinéma. Il n’est que huit heures. Ce n’est pas normal que des espagnols soient si à l’avance à un rendez-vous. Ils ont probablement confondu l’heure ou n’ont d’autre mieux à faire. Ou tout simplement ils veulent être les premiers afin d’avoir une position dominante lors des rencontres avec les arrivants.

Comme prévu, je vais au Bisbal Park. Je prends un coca light. Je ne tiens pas à boire trop d’alcool. Je veux profiter au maximum de la soirée.

Je suis envahi de pensées multiples. Tout d’abord je me demande qui sera là. Serons nous nombreux ? Reverrai-je mes compagnons de cinquième et sixième ?

L’heure approche. Je vide mon verre et je me décide à affronter les autres. Je n’ai pas de complexe majeur quant à mon physique mais il faut dire que par rapport à mon départ ou au souvenir que la plupart ont de moi, j’ai pris trente kilos de plus. L'expérience de quelques rencontres m'a prouvé que tout le monde se souvient de moi quand j'avais vingt ans.

Je m’approche de l’entrée et du groupe sur le trottoir. Je constate que je ne suis pas le seul à avoir pris du poids, ce qui me rassure. Je reconnais déjà deux ou trois. Ils parlent avec entrain. Ils rigolent, l’ambiance est agréable. Pour casser la glace, je me plante devant un des compagnons du lycée, Josep Bassa, avec qui, de plus, nous avons partagé des matchs de foot lorsque j’étais défenseur et lui gardien de but. Il a eu un moment d’hésitation mais en quelques secondes il m’a reconnu et s’est exclamé : Hostia ! Rubio ! On s’est donné l’accolade.
J’ai salué Marina et puis deux ou trois autres du lycée : Jordina, Margarita (qui j’ai reconnu mais dont je ne me souvenais plus le nom). Un peu plus tard Rosa Pons et Rosa Maria Solés dont le nom ne me revenait plus. Je suis heureux. Que de souvenirs affluent en trombe dans mon cerveau : les cours de sardanes, les excursions, les matchs de foot, la vie, …

J’ai été assez passif jusqu’à présent. Je décide de m’activer. Cela devient un jeu de déstabiliser, pour rire, l’autre. Ainsi je me plante devant Lluis Fabrellas et je lui dis qui il est, car cela fait un moment qu’il est dans le parages mais qu’il ne m’a pas reconnu. Lorsque je lui décline mon identité un pan d’histoire tombe à ses pieds. Nous avions partagé aussi le lycée et les couleurs de son équipe de foot. Tous les deux nous étions des défenseurs.
Les conversations tournent sur qui connaît qui. On essaie de deviner qui est qui.

Il paraît qu’on a parlé assez bien de moi, surtout à cause de mon déplacement depuis l’étranger. Faut dire aussi, qu’à l’époque j’étais assez populaire surtout à cause de mon côté artistique. Beaucoup me disent se rappeler encore de mon nom de scène : « Rio-Tony ».

Tomas Pons m’a reconnu tout de suite et notre euphorie s’est emporté. J’attaque alors Lluis Valls aussi du lycée.
Il y a par contre d’autres dont il est impossible de se rappeler. Nous devons décliner notre identité. Pour Duran, je me rappelais de son nom mais plus moyen de revenir sur son prénom Jaume.
Pour tant je m’étais fait une liste, et j’avais déjà réfléchi aux noms et prénoms. Je reconnais un tas de têtes mais plus moyen de faire revenir leur nom.

La difficulté est proportionnelle aux fréquentations d’antan. Car si nous étions tous du même village et environs nous sortions en groupes différents.

Peu à peu tout le monde est arrivé ou au moins une grande partie. Il parait que nous sommes cent dix à avoir répondu présent.

Nous entrons dans la enceinte du cinéma et suivons les instructions pour nous placer dans le sièges pour la photo de groupe.

A la sortie, nous sommes accueillis par une salve de pétarades et un concert de percussions. Un groupe de tambours nous précède jusqu’à l’endroit où nous devons prendre le bus qui nous conduira au restaurant. Sous les arcades centenaires, monument emblématique de mon village nous faisons une halte pour écouter deux ou trois pièces percussives aux tambours et pétards. Les décibels montent la glace est cassée.
Deux bus nous attendent. Nous nous répartissons au gré du hasard. Il est difficile de décider de se mettre avec ceux-ci ou ceux-là tellement les groupes sont instables. Tout le monde veut parler avec tout le monde.

La soirée est prévue à Llofriu à « La Sala Gran » un restaurant habitué à des événements de cette envergure. A l’arrivée nous pénétrons dans la partie qui nous est réservée et qui consiste en deux grandes salles ; l’une aménagée en piste de danse avec quelques sièges à l’entour et un bar ainsi que la table de mixage du disc jockey ; l’autre comporte une douzaine de tables rondes pour dix personnes. Les places ne sont pas prédestinées. Quelque par ce serait plus facile, de l’autre côté comment savoir avec qui aurions nous préféré nous asseoir. De toutes manières cela n’a pas grande importance, l’ambiance est à la fête et si nous devons nous asseoir avec des personnes que nous connaissons moins c’est une bonne occasion pour mieux les connaître.

L’apéritif nous attend. Il fait chaud, je vais déposer ma veste à l’une des tables. Comme je le disais avant, sans savoir qui sera à la table. Ce sera une surprise.
La musique de fond commence à donner l’ambiance années 70. Un verre à la main nous discutons, débout, en changeant de groupes. Tout est rires, exclamations, découvertes, souvenirs, … Je suis content d’être venu. Grand nombre saluent mon exploit, mon déplacement de « si loin ». Je tempère les exagérations car finalement mille trois cents kilomètres ce n’est pas la fin du monde. Cela aurait été plus exceptionnel si j’arrivais de la Finlande. Néanmoins, je constate que pour la plupart de mes
Compagnons aller plus loin que Barcelone (100 Km) c’est encore une expédition.
D’autre part ils sont contents que je me sois déplacé.

Pendant le drink, j’ai parle avec un groupe de femmes dont je ne connaissais qu’une : Tere Torres, elle, par contre avait du mal a me reconnaître. Je suis sûr que son mari, Bernardo, avec qui j’ai joué au foot, le lui rappellera. Il y a d’autres qui connaissent ou ont eu plus de contact avec mes sœurs et me connaissent pour cela. Quoique ma carte de visite qui ouvre la mémoire c’est la guitare.
La difficulté à me situer est due aussi à ce que je faisais partie de plusieurs groups pas toujours propres au village. J’étais déjà international avant la lettre. Ainsi pour les sardanes je me retrouvais avec des jeunes de Cruïlles, pour les excursions avec des jeunes de Palafrugell, pour le foot avec ceux de La Bisbal, etc. Puis j’avais travaillé longtemps à la discothèque d’où que je connaissais beaucoup de monde.

A table je me retrouve avec deux anciens compagnons de primaire et un du lycée. Les autres je les connais de vue sans les avoir fréquenté directement.
Sur la table, devant chaque place il y a un journal à tirage unique et spécial pour l’occasion : « El 1957 » avec des articles concernant des sujets de 1957 et une liste avec tous les personnes contactées. A côté du journal il y a un CD reprenant quelques morceaux de l’époque à l’avant du CD un fiat six cents avec comme plaque minéralogique « GI-1957 », à l’arrière un autre fiat six cents avec la plaque « GI-2007 ». Néanmoins ce qui m’a le plus touché c’est l’image imprimée sur le CD proprement dit. Une image des sous verres utilisés dans les discothèques avec les logos du Long John et de Ca'n Met. Le must étant que l’image reprend aussi quelques feuilles automnales de châtaigner pour imager le pas inexorable du temps.
Très réussi.

Aussi, un exemplaire de la photo prise tout à l’heure nous a été distribuée accompagnée d’un « bon pour une consommation » au bar de la discothèque comme dans les bon vieux temps.

Le repas est très correct eu égard au nombre de convives. Une entrée poisson avec une sorte de pâté de légumes, un consistant viande accompagné de légumes. Le tout accompagné de vin blanc et de vin rouge.

Dès le dessert, le café et le pousse café la sono de la disco s’est fait plus appelante.
Les organisateurs n’ont pas lésiné sur les détails. Ils ont même déniché le disk jokey de l’époque qui s’est amené avec les 33 tours de notre jeunesse. Chapeau.

La soirée bat son plein, presque tout le monde danse. L’ambiance est bon enfant. Même ceux qui à l’époque ne se fréquentaient pas nécessairement se retrouvent aujourd’hui dans la même nef du temps. Moi, qui d’habitude je ne suis pas trop chaud pour danser le disco je n’ai pas pu empêcher mes jambes de réagir à leur mémoire musicale. J’ai aussi dansé.
Lors de la première période de « slow », je n’ai pas dansé, il y a comme un frein, je ne veux pas choisir et faire des préférences. Par contre lors de la deuxième je n’ai pas eu à choisir. Je me suis fait appeler à l’ordre par une des amies de primaire, Pilar Cruz, à qui je n’ai pas pu dire non. D’autant plus que le morceau c’était un des plus beaux : « El gato que está triste y azul » chantée par Roberto Carlos.

La soirée s’est terminée vers quatre heures du matin. Les bus sont venus nous reprendre et nous reconduire à La Bisbal.
Nous nous sommes quittés avec la ferme intention de ne pas attendre trente cinq ans pour nous revoir.
Comme j’allais sur Girona, j’ai raccompagne deux des filles qui habitent dans les environs.

Je suis rentré, chez ma sœur, où je loge pour cette escapade, vers cinq heures et demie avec le cœur débordant de bonheur.

Voici le lien pour quelques photos et videos.

Saturday 10 November 2007

Birthday : 50 yold

Today I am 50 years old.
Is it a different day in my life ? I do not think so. I am approaching the end, yes, but aren’t we approaching every day the end ? I am not feeling older, I am just less young. Like it is usually said : we are not anymore twenty years old.

Already more than twenty-seven years living in Belgium. Compared to the twenty-two lived in Spain it could be said that I am more Belgian than Spaniard. Nevertheless, the roots are powerful. When I am asked about my country I directly think, without any kind of doubt : Spain.

In the other hand, I am really not a classical Spaniard ambassador. I am not spreading the pros and certainly not the contras. I have the feeling that I love Spain in a privately way. I keep it in my heart. I like the smells, the light, the sounds, the sky, …. I am sure this has a connexion with my childhood.
Unfortunately landscape has changed very much and the remembering I have from some places does not correspond anymore to the view I receive today. Live is changing.

When I left Spain, I left in a certain way my family, my friends, but especially my youth, more or less light-hearted.
In Belgium I founded a family, my family. I have a spouse and two children whom I love on top of everything.

....
















Aujourd’hui j’ai 50 ans.
Est-ce un jour différent dans ma vie ? Je ne le pense pas. J’approche la fin, oui, mais n’approchons-nous pas la fin tous les jours ? Je ne me sens pas plus vieux, je suis simplement moins jeune. Comme on dit d’habitude : nous n’avons plus vingt ans.

Cela fait déjà vingt-sept ans que j’habite en Belgique. Comparé aux vingt-deux ans vécus en Espagne on pourrait dire que je suis plus belge qu’espagnol. Néanmoins, les racines sont puissantes. Quand il m’est demandé de parler de mon pays, je pense directement, sans l’ombre d’un doute, à l’Espagne.

De l’autre côté, je ne suis pas un ambassadeur classique de l’Espagne. Je ne fais pas de louanges pour et certainement pas contre. J’ai l’impression que j’aime l’Espagne d’une manière privée. Je l’ai dans mon cœur. J’aime les odeurs, la lumière, les sons, le ciel, …. Je suis certain que tout cela a une connexion avec mon enfance.

Malheureusement le paysage a beaucoup change et les souvenirs que j’ai de certains lieux ne correspondent plus à la vue d’aujourd’hui. La vie change.

Quand j’ai quitté l’Espagne, j’ai quitté en quelque sorte ma famille, mes amis, mais surtout ma jeunesse, plus ou moins insouciante.
En Belgique j’ai fondé une famille, ma famille. J’ai une épouse et deux enfants que j’aime par-dessus tout.

Tuesday 2 October 2007

English or French ?

The end of the year is not so far yet. Hardly two months and a half of hard work (because of the end of the year) and then the winter holidays.
Looking back to all what I have posted I realise that there is not so much English in it. I am sorry, I wish I could be as fluent in English than I am in French.
At least the English readers can have a small consolation by discovering that there is almost nothing in Spanish.

I started, in February, a memories blogs serial, but since then I haven’t had time enough to develop and continue. I try to keep up to date the artistic side even if for the time being I am only up-to-date with the paintings part. By the way, I have added a blog containing some examples of my daughter drawings.

By the end of this month we are going to spend a week at the Belgian coast : La Panne / De Panne just next the French border.

It is a kind of tradition to spend a week there for the First of November. We rent the same apartment for years.

Our children are in holidays and we invite one or two schoolmates of both of them so we make a bigger family. At the same time friends come to pay a visit to us. We make big walks along the coast and sometimes in the dunes, a bit inside (I cannot call them hiking) jus big walk between ten and fifteen kilometres. We hire bikes and ride on the surroundings.
Children, even if they are not anymore so childish, they still like digging big holes on the beach. They can stay hours outside in the fresh air.

My wife and I love going for a walk in the morning, when the other are still sleeping. We walk just where the waves die. On the way back we pass through the bakers and bring fresh bread an croissants for the breakfast.

We read a lot. I take the time too to put in order my directories and files in my personal disks : archive, delete, reorder, etc. Prepare, offline, some draft articles or blogs in order to publish them when I am back.

I also try to find inspiration to make some watercolours.

This time I intend revise too my notes about English and if I find time enough my Finnish notes too, as we are going to Finland on holidays in August 2008.

Monday 17 September 2007

Back from Bayern

Je suis désolé, mais je suis à nouveau de retour. Cette fois-ci c’était notre escapade randonnée annuelle à Spitzingsee.

Je ne dirai pas grand-chose ici car tout ou presque a été dit dans le blog correspondant : Hiking in Bavaria

A présent nous reprenons petit à petit notre train-train quotidien : le bureau, les cours, les lectures, etc.

Note prochain salut n’est programmé que vers la fin du mois d’octobre lorsque nous partirons en famille à La Panne (Côte Belge) pour notre séjour annuel de la Tout Saint.

Monday 27 August 2007

Back from Northern Ireland

I realise that I am quite often back from somewhere.

It is like a meal. First find ingredients (what to take with), then prepare and cook (what to visit, timetables, …), serve it (spend or take the journey) and digest it (what I call : back from …)

I think each part has its interesting sides.

What to take with
I start making a list sometimes months before the departure.
First of all I make a table a kind of calendar to have a global view of every day. This view will serve to decide the amount of clothes to take, when the places have to be visited, where we expect to sleep if itinerant, and the main or foreseeable events.

For the stuff to take with I use a Palm application (HandyShopper) that I have adapted the normal way for my own use.
Each item is linked to different categories of classification : by type (kind of item), by usage (related to), by owner (who uses it), by location (where is it), by trip (when to use it)

Type : Appliances, Accessories, Equipment, Leisure, Clothes, etc.
Usage : Computer, Car, Home, Communication, Music, Hiking, etc.
Owner : My children, My wife, Myself, Someone else.
Location : Rucksack, Suitcase, Bag, Pharmacy box, car, etc.
Trip : Summer holiday, Winter holiday, Week-end, Short hike, Long hike, Cycling tour, etc.

So when I prepare the list, by selecting the different categories I get only the items related to and then I can find and select them easily. By the way most Items have two locations, the usual one and the one when travelling.

Example : My hard hiking boots. They won’t appear neither if I chose a cycling tour or a few hours hike. They will appear if I choose a long hike.
They belong to Equipment, Hiking, Myself, Rucksack, Long hike.

The swimsuit won’t appear in winter holiday. If I know I will need it I can select it manually.

When I take the laptop with me I ask to be shown everything related to computers and then I can pick up the items I need.

What to visit
When preparing, I like to gather information from several sources not only tourist ones but also historical.

I use different guidebooks and each one has its own approach. Not to make them a special publicity but I mainly use : Guide Bleu, Lonely Planet, Guide du Routard, Guide Vert Michelin, pocket Berlitz and then I collect information from the Internet.
Concerning maps I use the Michelin ones when possible.
For hiking of course the 1/25000 when available.

I check the opening hours and days. I categorize following my interest and also depending on the possibility to go again to the place. If I know I can go again in the future I don’t charge too much the agenda.

During the journey
I try to stitch as close as possible to what has been foreseen. If needed some plans can be altered.

I take as many pictures as I can. When possible I use a tripod, and I try to use the flash only when it is absolutely necessary.

I write down, in a draft notebook, the main facts, situations and thoughts of the moment. They will guide me later to write de diary. It is important to write down directly the name of the places, otherwise you can spend a lot of time trying to finding them in a map later.
I try to know always where I am, related to the country, to the place of stay, etc.
If camping I draw (sketch) sometimes the way the tents are placed, the fire camp, related to the landscape; that helps to remember day by day.

After the journey (back from …)
I write as soon as I can the diary. Make a backup of the pictures and select them by deleting the similar views, the bad or irrelevant ones, etc. I do not usually correct them with a computer software. What was done, was done.

From the huge amount of pictures, I make a selection that represents more or less 20%.
This selection is what I publish in a site giving the access to everyone who is interested in watching/seeing them. I send then the link to my friends.

I try to update my blog and share my experience with everyone.

I think I am going, since now, to make a kind of video montage with a sub-selection of the pictures selection in order to be stored in a CD and be shown in a standard DVD reader. So people who don’t have access to The Internet can watch some of the main facts of the journey.
At the same time that can be a nice moment to spend with friends, have some refreshing drinks and appetizers.

By the way for those who could be interested in the real Back from Northern Ireland click on it.

Saturday 28 July 2007

Back from Spain

Les trois semaines en Espagne ont passé en un coup de vent.
Mis à part la première semaine où le ciel avait quelques difficultés à se maintenir à sa couleur bleue habituelle, le reste du temps a été formidable.

Certaines des prévisions ont été remplies, d’autres non.
Il n’a pas été possible de rendre visite à Danielle. Les photos de mon village ont été reportées à plus tard dans l’année, probablement en novembre. Je pensais faire quelques aquarelles mais l’inspiration n’est pas venue. J’ai pris néanmoins quelques photos, lors de nos visites, en pensant à la rentrée artistique.
Pas pu reprendre la révision de la langue finnoise. Il me reste encore douze mois avant notre départ l’année prochaine.

Par contre j’ai commencé à mettre de l’ordre dans mes quelques 16.000 + 20.000 photos et images que j’essaie de classer de manière logique afin de les retrouver rapidement selon le contenu et le motif de l’image. Dès que je le pourrai je compte faire une copie de sauvegarde sur DVD car le volume global est de quelque 20Gb.

J’ai mis un peu de l’ordre dans mes fichiers d’anglais afin de préparer la rentrée. Il me reste à retranscrire le vocabulaire.

Côté lecture j’ai lu quelques romans et parcouru quelques articles de revues et chapitres de livres sur des sujets d’intérêt général.
J’ai lu : « America » de Stephen Coonts ; « El escandalo Modigliani » et « En la boca del dragón » de Ken Follet et « Comme une tombe » de Peter James
J’ai en cours de lecture : « Africa Trek II », « Le dernier théorème de Fermat », « Sophie’s World », « Airframe »
J’ai parcouru des articles du : National Geographics et de la BBC World News

Vice ?, Conscience professionnelle ?, Mauvaise conscience ?, Je n’ai pas pu m’empêcher de lire régulièrement, et de répondre de temps en temps, les courriels du travail. Ce n’était pas énorme, environ une heure par jour. Je serai moins dépaysé lorsque je reprendrai le lundi 30. Je n’ai pas fait le compte mais je pense que l’ensemble ne doit pas être loin des 650 messages.

Je n’ai pas encore repris le travail que j’ai déjà commencé à préparer mes bagages pour mon escapade en Irlande du Nord du 11 au 19 août.

Saturday 16 June 2007

Summer Holidays 2007

Les vacances d’été sont à la porte.
Dans moins de quinze jours nous serons partis pour notre séjour traditionnel à Palamós (Girona) Espagne.
Cette année, malheureusement nous n’irons pas randonner dans les Pyrénées.
En effet l’auberge de jeunesse de Nuria était au complet pour la période de la quatrième semaine du mois de juillet. Des écoles, des colonies de vacances ont pris possession des lieux.
Elle est victime de son succès et nous, groupes minoritaires, somme laissés pour compte. Pour l’année 2009, je réserverai dès septembre 2008.

Comme Salvador et Mady seront déjà sur place nous descendrons directement par Paris, Clermont Ferrant et le viaduct de Millaud. La différence en kilomètres, par rapport à paser par le Luxembourg, n’est pas énorme mais la densité de circulation est inférieure. Ce sera aussi une bonne occasion de tester le nouveau GPS.

Pour ces trois semaines nous avons déjà quelques rendez-vous.
Nous prévoyons de voir Pere et Tere chez qui nous irons souper le vendredi 6.
Probablement nous aurons notre repas, déjà traditionnel, avec Joseph et Rosette.
Le 13 Ksenia, notre ex-au pair ruse, arrivera à Lloret de Mar pour ses vacances avec Sacha, son mari. Nous nous arrangerons pour nous voir lorsqu'ils seront installés.
Aux alentours du 13 nous rencontrerons aussi Anne, Sophie et Marion qui dans leur périple logeront à Maçanet de Cabrenys, pas trop loin de Peralada où nous comptons rendre visite aussi à Nuría, encore une ex-au pair. En gros toutes nos ex-au pair sont devenues des amies que nous aprécions de revoir.
J’ai prévu aussi de me rendre à la Escala, pour une petite visite à Danielle du cours de l’Académie de Braine l’Alleud. La date est encore à fixer, par SMS.

J’ai l’intention de faire toute une série de photos de mon village et des villages environnants pour une future collection d’aquarelles sur ma région natale. J’essaie de me rappeler des endroits que j’ai fréquenté dans mon enfance.

Sunday 27 May 2007

Lord of the Dance

Il y a quelque temps j’avais vu Riverdance que j’avais apprécié et aimé jusqu’à en être profondément ému. Je m’étais dit que dès qu’il y aurait un autre spectacle de la sorte j’y serai présent.
Ce fut le cas hier, où avec Evelyne j’ai assisté, à Forest National, à la représentation de « Lord of the Dance ».
J’avais réservé les tickets déjà depuis quelques mois et je n’ai pas été déçu.

Je suis touché principalement par la souplesse des danseurs, la synchronisation et le cœur qu’ils y mettent à l’ouvrage. On a l’impression qu’ils se donnent à fond, qu’ils ont le rythme dans le corps, qu’ils sont passionnés, possédés par la frénésie et emportés dans une autre dimension. Celle des sentiments. Quant on les voit danser on n’a pas l’impression qu’ils sont en train de « travailler », ils ont l’air de s’amuser.

J’ai l’impression, ou le souvenir, néanmoins, que Riverdance faisait plus réel, probablement du fait des musiciens sur la scéne.
Je pourrai le comparer assez bientôt car il paraît qu’en janvier 2008 il y aura un nouveau spectacle. Dès qu’il sera possible, je réserverai les entrées. Je suis déjà impatient.

Friday 18 May 2007

50ème anniversaire à la Bisbal

J’ai reçu hier un courriel qui m’a fait grand plaisir.
Il m’était envoyé par Marina, une amie d'enfance de La Bisbal.
Ils sont en train d’organiser une rencontre de toutes les personnes nés ou vivant à La Bisbal dont cette année 2007 est leur cinquantième anniversaire.

Il y a quelques années je l’avais contactée pour savoir s’ils prévoyaient de faire quelque chose pour les trente ans de la fin du baccalauréat. Depuis quelques années j’y pensais et j’aurais aimé pouvoir revoir tous mes compagnons de « souffrances »

Selon les informations reçues, la rencontre aura lieu le 24 novembre. Qu’il y ait une date déjà décidée me rassure, car cela voudrait dire que l’organisation a déjà commencé.
Non seulement cela a déjà commencé mais l’on sait déjà où et une idée approximative du nombre. La fête aura lieu au restaurant « La Sala Gran » de Llofriu.
Il est prévu qu’un car nous y conduise. Des invitations / convocations seront envoyées à environ 225 personnes desquelles ils pensent plus de la moitié répondra présent.


Je suis curieux de voir à combien d’entre eux je reconnaîtrai. Bon, pour les reconnaître je n’aurai pas trop de problème, mais leur nom … déjà, je ne parviens pas à me rappeler du nom des 20 avec qui j’ai partagé la cinquième et la sixième du baccalauréat je ne veux pas m’imaginer quel souvenir aurai je gardé des autres

J’ai noté l’événement dans mon agenda tout de suite. Je serai ravi d’y participer.
Les conjoints ne sot pas invités pour allèger la logistique et faciliter les conversations.
Probablement je partirai jeudi 22 et rentrerai lundi 26.

Friday 27 April 2007

My English courses

I should be ashamed for not being able to read, write and speak far more fluently than I can.
When I say I have been studying English for years it is true, but even if I started when I was eighteen I have not been studying in a continuous way.

I do not remember anymore how I came to study English. I had “learned” French at secondary school because it was, at that moment, the foreign language to be learned. English could only be studied by private lessons.

I had among my pen friends a Korean girl, Cha Hee Soog, that wrote me in English when I scarcely could say "good morning".
When I received one of her letters I made always first a word by word translation with a dictionary in order to have a global idea of the contents then with very simple sentences I tried to answer her letter.
I think that finally if I decided to learn English was because of her.

I found an evening course that was the result, if I remember well, of a social program. In my town, La Bisbal, there weren’t so many opportunities to study as in Girona. Some teachers gave private lessons but most were account orientated or remedial ones.

My classmates were from miscellaneous horizons, workers as myself, students, teachers, a bank director and even a monk. We all had good time, our teacher, June, was very patient with all of us that were just discovering the Shakespeare language.
When this program ended we had some notions of English but I can not say I was able to talk but thanks to this course I stayed in touch with June and continued with some of the students in private lessons once or twice a week. Then I can say I learned enough to be able to read, write and talk in basic level.

We learned a lot and we had fun too, from time to time, normally after examinations, we used to go all together to a restaurant and later to a pub.

I had to stop attending the courses because of the army. When I came back I stayed less than three months at home and then I moved permanently to Belgium. The first three years I needed to improve my knowledge of French and learn some basic Dutch.

Having lost most of my English level I started again in what it is called today the EPFC (Chambre de Commerce belge) also with evening lessons for two years.
These courses were very useful for the European civil servant competitions. I stopped learning again because the French was far more used in my daily tasks. More or less four years later, 1990, I started again with the English language for about two or three years and at this moment I got to know Evelyn, my present teacher.
Because of the work volume I had to stop. Few years ago I tried to start again (when I say to start I do not mean from the beginning but to take again somewhere near where I had stopped) but the course was really boring and the level quite low. I felt I was wasting my time and energy so I gave up.

The language tendency at the Council is changing since the beginning of this century, most of the documents, more and more the meetings and everything is done in English.
Last year I decided that I wanted to reach in English, at least the same level I have in French. So I have taken again and quite seriously the learning of the English language.

To my pleasant surprise the teacher in charge of the level was Evelyn once again.
Since then I haven’t stopped learning : consolidating the elementary, improving the intermediate and preparing the advanced levels.
I have to say that my present classmates are also very motivated which gives a good impulse to the lessons rhythm.

Monday 23 April 2007

Nice weekend : to work

Ce week-end et le dernier furent tellement magnifiques que nous n’avons pas pu résister à la tentation de travailler.
Quelque par c’est un investissement pour les prochains week-ends lorsque nous pourrons admirer, un verre dans la main, le résultat.
Je n’ai pas été le seul à participer à ce rafraîchissement de printemps, toute la famille s’y est mis, enfin presque.

Tout d’abord nettoyage des murs au kärcher. On voit bien qu'ils en avaient besoin. A force de les voir vert/noir on s'était habitué et on avait oublié leur couleur originale.









Après le nettoyage nous avons opté pour de la peinture extérieure en deux tons : Cayenne et terracota mélangées de forme à casser la monotonie visuelle.









L’abri de jardin et la terrasse en bankerai ont reçu aussi un traitement de protection pour le bois.

Wednesday 4 April 2007

Mise à jour blog peintures

J’ai entrepris, cette semaine, pendant laquelle j’aurai un peu plus de temps libre, d’avancer dans la rédaction du blog dédicacé aux peintures.
Dans un premier temps je me limiterai à un minimum de texte que je reverrai plus tard pour en affiner la rédaction en même temps que d’essayer d’enrichir le cadre ayant servi d’inspiration pour l’élaboration de la peinture.
J’ai tant de choses encore à rédiger que j’ai hâte d’en finir. Je crains de ne pas avoir assez de temps.
Je n’ai pas encore pu commencer avec les poésies ni les chansons. Je suis à l’arrêt quant aux souvenirs. Quant au blog des randonnées, j’ai déjà mis la main sur je journal de la Finlande 1989, le chemin de Saint Jacques 1991, et quelques notes concernant La Vall de Nuria et les Pyrénées.
Pour le moment je note de petits mémos dans mon calepin, mais lorsqu’il faudra développer ces notes il me faudra pas mal d’énergie mais surtout du temps libre. Je ne pense pas que je vais trop m’ennuyer pendant les vacances.

Saturday 31 March 2007

Le temps passe trop vite / Time flies

En début du mois de mars j’ai fait le point de comment organiser toutes les informations que je souhaite mettre à la portée de tous mais je n’avais pas pris en compte le temps matériel qu’il faut pour mener à bien la tâche si on veut qu’elle soit pour le moins un peu soignée.

J’ai passé presque deux semaines à retranscrire notre randonnée dans le désert.
Il est vrai que le texte original fait environ 115 pages de mon Moleskine format poche, ce qui équivaut à peu près à une vingtaine de pages Word. D’autre part j’ai illustré le récit de quelques photos qu’il a fallu choisir adapter et inclure aux endroits les plus propices selon le texte.

Je m’attaque pour le moment à la version résumée en anglais pour mes amis non francophones et pour donner une certaine ouverture à d’autres cultures qui sont plus anglophiles.



At the beginning of March I had decided how to organise all the information I wanted to open to everybody. I did not take in account all the physical time it is needed to carry on the task, at least to have a basic accurate result.

I have spent almost two weeks to copy the 115 original pages from my Moleskine pocket format diary, which is the equivalent of twenty Word pages. In addition I wanted to illustrate the story by some pictures that I have had to choose, adapt and insert on the right place in the text.

At the moment I am writing the English adapted version for my non French speakers friends and to open it to other people with an anglophile profile.

Tuesday 6 March 2007

Breadcrumb / Fil d'Ariane

It is not a real breadcrumb technique but I liked the image.
From this blog it will be possible to reach all the other and they will have a link to this one.


After having spent weeks thinking about it, I finally found what I wanted to do with the facility of blogs. I know, my English is not perfect. That is normal because I am learning. Just because of that I write in the Shakespeare language, to practice, learn and get used to it.

If anyone discovers any mistake, feel free to put a comment I will be pleased to correct it.

I am checking all the functionalities offered by this blog system and as I go along with it I will improve the display and use facilities.

At the moment there are only some blogs activated with few information that will increase in a near future.

Among other projects I intend to publish my poems, songs, memories, paintings etc.
I already started in French but I am more and more convinced that I will write the articles in both languages, French and English, with some comments in Spanish for those in my family that doesn’t speak them.

I created Website some years ago, I try to maintain it, but this is quite demanding. Giving the fact that it is easier to add information in a blog instead of writing, paginating, etc. in local then publishing … Knowing that in addition to that you need the software to write and the software to publish.
I won’t abandon it but I have to find another orientation to it. It can become a kind of archive or second starting point with extra information. Nevertheless it will be included in the links offered by this starting point.


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Ce n’est pas vraiment la technique du Fil d’Ariane mais j’aime bien l’image.
A partir de ce blog il sera possible d’atteindre les autres et ils auront un lien vers celui-ci.

Après avoir passé quelques semaines à réfléchir, j’ai finalement trouvé ce que j’allais faire avec la facilité des blogs.
Je sais, mon anglais n’est pas parfait. C’est normal car je suis juste en train de l’apprendre. C’est just pour cela que je fais l’effort d’écrire dans la langue de Shakespeare, pour pratiquer, apprendre et m’habituer à écrire.

Si quelqu’un trouve des erreurs, qu’il écrive un commentaire afin que je puisse les corriger.

Je suis en train de tester toutes les fonctionnalités offertes par ce système de blog et au fur et à mesure que j’avancerai j’améliorerai l’affichage et les facilités d’utilisation.
Pour le moment il n’y a que quelques blogs activés avec peu d’information qui augmentera dans un future proche.

Entre autres projets j’ai l’intention de publier mes poèmes, chansons, souvenirs, peintures, etc.
J’ai déjà commencé en français, mais je suis de plus en plus convaincu que j’écrirai les articles dans les deux langues, français et anglais, avec quelques commentaires en espagnol pour ceux de ma faille que ne parlent aucune des deux.

J’ai crée un site Web il y a quelques années, j’essaie de le maintenir, mais c’est de plus en plus exigeant. Etant donné qu’il est plus facile d’ajouter des informations dans un blog qu’écrire, paginer, etc. en local, puis après publier … Sachant que en plus on a besoin du programme éditeur et du programme pour publier.
Je ne l’abandonnerai pas je dois lui trouver une autre orientation. Il peut devenir un sorte d’archive ou deuxième point de départ avec de l’information supplémentaire. De toutes manières il sera référencé dans ce point de départ.