Tuesday 26 January 2010

Frozen shoulder

Ce n’est que lorsque quelque chose est en panne que l’on se rend compte de combien de fois on l’utilise.

La semaine dernière j’en ai fait les frais pour avoir eu mon épaule gauche bloquée. Oui, je ne ferais pas l’énumération exhaustive du nombre d’actions qui précisent ou sollicitent les muscles, et/ou l’articulation de l’épaule gauche, mais c’est énorme.

Déjà rien que pour s’asseoir, pour approcher la chaise, pour se lever, pour s’habiller, pour se gratter l’épaule droite, etc. etc.

Grâce à quelques anti-inflammatoires et anti-douleurs je suis plus ou moins retapé mais je n’oublierai pas de si tôt. Toutes les exagérations se paient. Désormais je surveillerai la quantité et la manière de manipuler les poids en faisant servir plus ma cervelle que ma force.

Cette fois-ci je n’ai pas pris de photo, mais pour avoir une idée voici ce à quoi je ressemblais la semaine passée.

Saturday 9 January 2010

2010 : La neige continue



Cela faisait déjà quelques semaines, même avant qu’il ait commencé à neiger, que je me posais la question sur l’utilité d’acheter des pneus d’hiver. A mettre mi novembre et enlever fin avril. J’y pensais mais je voulais avoir plus d’informations, surtout de personnes les utilisant déjà.
Les neiges sont arrivés, tant bien que mal j’ai fait mes trajets en ayant parfois du mal à monter quelques pentes mais en passant quand même. Il est vrai aussi que depuis novembre j’ai dans le coffre de la voiture les chaînes et une pelle pliante pour le cas où …

Hier j’ai eu une chance inouïe, finalement je me suis décidé à aller au garage qui s’occupe de l’entretien de notre voiture pour demander devis et délais pour l’installation de quatre pneus hiver sur la Sharan. Par chance, il y en avait de stock, montés sur jantes. Le placement a été fait sur le champ. Une heure plus tard je quittais le garage sur des pneus d’hiver. Les quatre pneus remplaces ont été mis dans le coffre et je vais les placer quelque part dans le garage à la maison jusqu’au mois de mai.

Je suis rassuré car je m’attendais devoir attendre une vingtaine de jours et que lorsque ils seraient là les conditions hivernales que nous subissons maintenant seraient conjuguées au prétérite.
Ce n’est pas que j’aie l’intention de faire le fou, mais c’est rassurant de savoir que j’ai fait au moins le minimum qu’il fallait pour augmenter le pourcentage de sécurité à la conduite.

Sunday 3 January 2010

2010 : Sweet home enneigée


Tubize en neige. Nous sommes rentrés de la mer juste à temps. A peine arrivés les premiers flocons tombaient.
Toutes proportions gardées les quelques centimètres de neige ne sont rien en comparaison avec d’autres régions, d’autres pays ; mais pour celui qui ce matin a dû déblayer un sentier sur le trottoir pour les passants, c’était plus qu’assez !!!

N’empêche que le paysage est beau sous la blanche couche. J’ai eu de la chance de devoir conduire ma fille au travail assez tôt ce matin, pour pouvoir profiter de la vision pas encore souillée par le passage du genre humain.
D’un autre côté la conduite a dû être beaucoup plus prudente du fait que certaines rues n’étaient pas traitées.

Friday 1 January 2010

Nouvel An à La Panne

Voici quelques images de notre réveillon à La Panne

Nous l’avons fêté avec des amis : Quatre familles, les enfants et des amis.
En total pour le 31 nous étions une vingtaine de gais lurons dont 13 adultes confirmés, 4 adolescents, 3 entre les deux et 5 Jack-Russell.

L’organisation avait commencé à la mi-novembre où nous avions déjà reparti plus ou moins les tâches et les responsabilités. Il ne restait plus qu'à mettre en pratique la théorie sur le terrain.

Tout s’est déroulé à peu près comme convenu, le plus ardu ayant été de placer les vingt personnes dans le séjour de l’appartement qui normalement n’est pas prévu pour.

Repartis entre deux appartements nous avons trouvé une solution assez pragmatique : l’apéritif et le dessert se passeraient dans celui au dessus dans une sorte de « walking dinner » et les consistant seraient pris assis dans celui d’en dessous.

Pour l’intendance j’avais ramené de la maison un service de table de 12 couverts, ainsi qu’une table pliante, des tabourets et d’autres ustensiles.

Comme le temps était fort frisquet la conservation ainsi que le refroidissement des boissons et des mets, ne posait pas de problème majeur, la terrasse étant devenue l’extension officielle du réfrigérateur.

Avec un peu de volonté et la participation de la plupart des membres le souper a été un succès. Je ne rentrerai pas dans le détail car cela serait trop long, je me limiterai seulement à la mention du nom ou contenu des assiettes.

Les zakouskis et apéritif
Le saumon fumé
La Bisque d’Homard
Le Foie-Gras poêlé
Ragoût de Biche aux airelles
Fontaine de Chocolat aux fruits

Les Douze coups de minuit aux raisins et champagne


Le bilan est très satisfaisant. Tous les membres on été très participatifs tant à la préparation qu’au dressage, vaisselle et rangement. L’expérience pouvant être donc renouvelée.

En fait il y a eu l’avant, le pendant et l’après la Saint Sylvestre car en fait si le gros du groupe n’est resté que pour la soirée du 31, une partie est arrivé le 30 décembre et est repartie le 2 janvier. Ceci a demandé une certaine administration et organisation parallèle très bien menée par Andrea et Joël

Dans une description sommaire chronologique :

Mercredi
Le 30 a porté principalement sur l’installation et la réflexion de comment repartir les places pour le logement et le rythme et ordre des agapes. Après quelques dernières courses et vérification des stocks, nous avons pu savourer une fondue bourguignonne. Joël et Andrea avaient acheté à cet effet ce qu’ils ont appelé une entrecôte. Le morceau que nous avons coupé en dés a bien fait l’affaire des participants, la moitié de la meute.

Jeudi
Le 31 nous avons pris le petit déjeuner ensemble. C’est chouette ainsi en groupe. En fin de matinée j’ai commencé à préparer la bisque, aidé par Joël, François, Andrea, Patricia ... Normalement lorsque je la prépare en solitaire cela me prend environ trois heures. Ce n’est pas compliqué mais laborieux. Cette fois ci, avec autant de main d’œuvre … c’était même difficile de distribuer du travail.
Malgré que cela fasse des années que je la prépare, j’ai toujours une petite appréhension que quelque chose foire et qu’elle ne soit pas réussie.

Petit à petit le reste du groupe est arrivé.
Muriel et Evelyne sont allées faire quelques courses. Pendant ce temps là nous avons un peu dégagé le séjour afin de trouver la meilleure manière de placer les tables.
Muriel a eu la bonne idée de prendre quelques pizzas. Elles ont été dévorées en un clin d’œil.

La personne que nous devions aller chercher à la gare d’Adinkerke s’étant décommandée, nous avons avancé l’heure de démarrage et décidé de commencer un peu avant vers 20h.
Andrea, Erika, Marina et Patricia se sont chargées de la décoration des tables.

Le début de l’apéritif a eu lieu vers 19h30. Muriel et Pascal ont gère cela en mains de maîtres. Une bonne variété de choix et plein d’amuse gueules chauds préparés en direct.

La bisque a été fort appréciée ce qui m’a fait plaisir.
Joël aidé de François et moi-même, nous sommes attaqués à la préparation du foie gras.



Minuit nous est tombé dessus en plein milieu du repas. Nous sommes passés au raisins pour les douze coups de la chance (tradition espagnole qui consiste en avaler un raisin à chaque coup de minuit. Les douze raisins symbolisant la chance pour chaque mois de l'année)
On a bien évidemment bu la coupe de champagne et regardé le feu d’artifice qui avait lieu sur la plage.

Malgré que le rythme avait été un peu cassé par l’arrivée de l’année, nous nous sommes rassis à nouveau et continué notre repas avec le service de la biche, delicieuse, que Joël avait cuisiné à l’avance.

Les jeunes planifient d’aller faire un tour à l’une ou l’autre salle afin de danser un peu. J’ai trouvé particulièrement gentil le détail de chercher un endroit où les jeunes de treize ans seraient aussi admis.

Nous sommes montés pour le dessert. Andrea a cette fois–ci opté pour du chocolat fondant directement.

Petit à petit on parle par ci par là, il est environ deux heures et peu à peu la fatigue se fait sentir. Les jeunes sont finalement partis et nous avons regagné a quelques dix minutes d’intervalle nos pénates.

De tous ceux qui dormaient chez nous j’étais le seul début, mis à part les jeunes qui étaient sortis. Je me suis dit de mettre à profit ce temps d’attente. J’ai donc dégagé les chaises, passé un coup de balai et puis terminé de faire la vaisselle. Les jeunes sont rentrés après avoir bu un verre quelque part.

J’ai fini par me coucher vers cinq heures.

Vendredi
Nous avions décidé de faire table à part pour le petit déjeuner car nous ignorions le rythme de réveil de tous et chacun. Joseph s’est porté volontaire pour aller chercher les croissants et pistolets.
Petit à petit nous nous sommes retrouvés autour de la table à prendre le petit déjeuner sur fond de concert de Nouvel An depuis Vienne.
Quelques uns sont allés faire une promenade sur la plage, d’un côté pour se dégourdir les jambes d’autre part pour donner de l’espace aux cinq boules de nerfs : les Jack Rusell.
Leur promenade les a conduits jusqu'à en France, à environ 6 kilomètres, ce n'est pas énorme; mais un aller retour sur le sable pèse tout de même sur les muscles.

A leur retour, nous sommes allés boire un verre et regarder un nouvel feu d’artifice dont j’ai pris quelques photos et films.



Pascal, Muriel et les enfants rentrent ce soir, Joseph a déjà pris la route après le petit déjeuner. Nous les avons aidé à charger les affaires.

La journée ayant été assez bouleversée par le rythme de réveils et levers nous avons décidé de refaire un souper tous ensemble ce soir. Comme il reste encore de la biche, le plat consistant de la veille a été resservi.

En guise de clôture j’ai pour ma part préparé un « cremat » boisson traditionnelle lors des récitals d’havaneres à la Costa Brava : à base de rhum et café en y ajoutant quelques ingrédients comme de la cannelle, sucre, pelure de citron et grains de café.

Voici quelques liens relatifs au « cremat »

http://www.oriolpascual.com/entry/19156-46488.html
http://ca.wikipedia.org/wiki/Cremat
http://fr.wikipedia.org/wiki/Habanera


Last but not least : le budget.
Aussi effrayant que cela pourrait paraître, le budget total des consommations n’est pas exagéré.
Si l’on tient compte :
des plats : foie gras, biche, homard, saumon fumé, etc.
des boissons : Pinot Gris (Tokay), Pinot Noir, Champagne, Cava, Rhum, Cognac, limonades, etc.
de la quantité : rien que pour les vins et mousseux environ 35 bouteilles
Le total des trois jours se chiffre à 790 euros à repartir en fonction des présences.
Si participé aux trois jours : 56 €
Si participé à deux jours : 43€
Si participe seul au 31 : 23 €

Vivement l’année prochaine !!!!!