Nous avons passé la Saint Silvestre avec des amis à la Baraque Fraiture, dans les Ardennes.
Un groupe de treize personnes dont plus de la moitié nous connaissons depuis des longues années. En gros nous sommes plus ou moins les mêmes qui avions fêté l’année dernière, ou du moins le noyau.
Ce qui est agréable ce que tout en étant ensemble, mis à part les moments forts des préparations des mets et tâches communes, chacun vaque à ce qu’il veut sans aucune obligation de faire quoique ce soit contre son gré.
Ce premier janvier 2011, ceux qui ont voulu aller skier sont partis vers les pistes. Ceux qui ont voulu aller promener sont partis sur les sentiers.
Je fais partie de ces derniers car n’ayant jamais skié, je ne tiens pas à me faire une entorse bêtement pour vouloir essayer un « nouveau » sport que je risque de ne pas pratiquer par après. Donc, je suis du groupe de promeneurs.
Bien qu’ayant pris mes cartes IGN, je leur fais une confiance relative car avec toute cette couche de neige, couvrant tout, mes repères habituelles ne sont pas toujours visibles. De toutes manières nous ne nous éloignons pas trop. C’est pourquoi je catalogue la sortie de promenade et non de randonnée.
Le GPS est plus fiable quoique de temps en temps lorsque nous quittons les aires à découvert et passons à travers d’une forêt, la couche de branches et de neige au dessus de nous rendent difficile la connexion avec les satellites.
En outre, je dois prendre avec des piles de rechange que je mets au chaud, car si habituellement, en temps normal je devrais pouvoir tenir une bonne journée, avec ce froid, les piles ont une durée de vie d’environ deux heures, si on n’est pas prévenant.
Le paysage est magnifique. Pour la facilité de la marche le mieux est de suivre les sentiers laissés par les skieurs de fond car la neige ayant été tassée par leur passage nous permet d’avancer sans difficulté. Dès que nous nous écartons de leur trace, non seulement nous ne voyons pas très bien où nous mettons nos semelles, mais en outre, le plus souvent, nous nous enfonçons jusqu’à presque le genoux.
Mis à part donc le fait que nous devons nous écarter de temps en temps pour laisser passer l’un ou l’autre amateur de glisse, le bol d’air est formidable.
Pour ce qui est de l’organisation des repas, la formule appliquée les années précédentes tient toujours. Chacun y va de ce qu’il sait ou peut faire les autres y prêtant leurs mains pour les tâches de préparation. Le gros des repas est assuré par Joël et Andrea, nous y participons avec l’une ou l’autre préparation comme par exemple la « Bisque de homard » et le « Cremat », Erika nous a-t-elle régalés pour sa part avec un bon couscous.
Le menu de cette année, vu l’expérience de l’année dernière, a été réduit d’un peu de lourdeur.
* Apéritif avec des amuse-gueules light
* Foie Gras sur lit de pain d’épice nappé de chocolat fondant au cognac
* Bisque de homard traditionnelle
* Waterzooi de homard à la Joëlienne
* No dessert
* Raisins de la chance aux douze coups de minuit
* Cremat à la catalane
Le tout accompagné de vins, champagnes, cavas et autres
L’animation principale de la soirée a été le karaoké préparé par Sarah et Jonathan.
Dans mon rôle, choisi par moi-même, de « reporter », je n’ai pu que constater l’adaptation des styles et variations de voix au fur et à mesure que la soirée avançait et que le volume de boisson ingurgitée augmentait.
Par sympathie pour les « artistes » et afin d’éviter un éventuel problème de droits de diffusion je ne publierai aucun des clips pris pendant la séance. Ils resteront en tirage limité et privatif.
Un groupe de treize personnes dont plus de la moitié nous connaissons depuis des longues années. En gros nous sommes plus ou moins les mêmes qui avions fêté l’année dernière, ou du moins le noyau.
Ce qui est agréable ce que tout en étant ensemble, mis à part les moments forts des préparations des mets et tâches communes, chacun vaque à ce qu’il veut sans aucune obligation de faire quoique ce soit contre son gré.
Ce premier janvier 2011, ceux qui ont voulu aller skier sont partis vers les pistes. Ceux qui ont voulu aller promener sont partis sur les sentiers.
Je fais partie de ces derniers car n’ayant jamais skié, je ne tiens pas à me faire une entorse bêtement pour vouloir essayer un « nouveau » sport que je risque de ne pas pratiquer par après. Donc, je suis du groupe de promeneurs.
Bien qu’ayant pris mes cartes IGN, je leur fais une confiance relative car avec toute cette couche de neige, couvrant tout, mes repères habituelles ne sont pas toujours visibles. De toutes manières nous ne nous éloignons pas trop. C’est pourquoi je catalogue la sortie de promenade et non de randonnée.
Le GPS est plus fiable quoique de temps en temps lorsque nous quittons les aires à découvert et passons à travers d’une forêt, la couche de branches et de neige au dessus de nous rendent difficile la connexion avec les satellites.
En outre, je dois prendre avec des piles de rechange que je mets au chaud, car si habituellement, en temps normal je devrais pouvoir tenir une bonne journée, avec ce froid, les piles ont une durée de vie d’environ deux heures, si on n’est pas prévenant.
Le paysage est magnifique. Pour la facilité de la marche le mieux est de suivre les sentiers laissés par les skieurs de fond car la neige ayant été tassée par leur passage nous permet d’avancer sans difficulté. Dès que nous nous écartons de leur trace, non seulement nous ne voyons pas très bien où nous mettons nos semelles, mais en outre, le plus souvent, nous nous enfonçons jusqu’à presque le genoux.
Mis à part donc le fait que nous devons nous écarter de temps en temps pour laisser passer l’un ou l’autre amateur de glisse, le bol d’air est formidable.
Pour ce qui est de l’organisation des repas, la formule appliquée les années précédentes tient toujours. Chacun y va de ce qu’il sait ou peut faire les autres y prêtant leurs mains pour les tâches de préparation. Le gros des repas est assuré par Joël et Andrea, nous y participons avec l’une ou l’autre préparation comme par exemple la « Bisque de homard » et le « Cremat », Erika nous a-t-elle régalés pour sa part avec un bon couscous.
Le menu de cette année, vu l’expérience de l’année dernière, a été réduit d’un peu de lourdeur.
* Apéritif avec des amuse-gueules light
* Foie Gras sur lit de pain d’épice nappé de chocolat fondant au cognac
* Bisque de homard traditionnelle
* Waterzooi de homard à la Joëlienne
* No dessert
* Raisins de la chance aux douze coups de minuit
* Cremat à la catalane
Le tout accompagné de vins, champagnes, cavas et autres
L’animation principale de la soirée a été le karaoké préparé par Sarah et Jonathan.
Dans mon rôle, choisi par moi-même, de « reporter », je n’ai pu que constater l’adaptation des styles et variations de voix au fur et à mesure que la soirée avançait et que le volume de boisson ingurgitée augmentait.
Par sympathie pour les « artistes » et afin d’éviter un éventuel problème de droits de diffusion je ne publierai aucun des clips pris pendant la séance. Ils resteront en tirage limité et privatif.
Nous nous sommes couchés vers trois heures.
2 comments:
hi, good site very much appreciatted
Super compte rendu pour ceux qui n'y étaient pas cette fois ;-)
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